ROLLSTORES

Le ministre de la défense américain, Pete Hegseth, a intégré dans son département l’équipe du milliardaire chargée de sabrer dans les dépenses publiques afin qu’elle puisse notamment cibler d’anciennes politiques démocrates axées sur les minorités ou le changement climatique.

La réalimentation des foyers est progressive, après des actes de malveillance commis sur le réseau dans la nuit de mardi à mercredi.

Cela représente une nette hausse par rapport à 2024 où le Bureau des affaires humanitaires des Nations unies avait demandé 674 millions de dollars – un appel aux dons financé seulement à 44 %.

L’ex-procureur fédéral de 44 ans a été confirmé, jeudi, comme chef de la police fédérale à une voix près, deux élues républicaines n’approuvant pas sa désignation. Ce soutien farouche de Donald Trump faisait face aux critiques du camp démocrate et au-delà.

Grâce à l’abstention du Rassemblement national, la proposition de « taxe Zucman » a été adoptée, jeudi, par l’Assemblée nationale. Elle a peu de chances d’être validée par le Sénat. Bercy prépare un prélèvement beaucoup plus limité.

Des bus vides ont explosé, jeudi soir, à Bat Yam, sans faire de blessés, a annoncé la police, qui a évoqué un attentat terroriste présumé. En réponse, Israel Katz, le ministre de la défense, a demandé à l’armée israélienne « d’accroître

L’audience de jeudi a permis de commencer à se pencher sur les flux financiers venus de Libye après que le tribunal a enterré la demande des avocats de Nicolas Sarkozy d’authentifier un extrait de conversation de ce dernier avec Mouammar Kadhafi.

Le président ukrainien, qui a reçu, jeudi, Keith Kellogg, l’émissaire de Donald Trump, a plaidé pour des « relations solides entre l’Ukraine et les Etats-Unis [qui] profitent au monde entier ».

Le Hamas a remis, jeudi matin, les cercueils contenant les dépouilles de quatre otages retenus dans la bande de Gaza à des membres du Comité international de la Croix-Rouge, qui les ont restituées aux forces israéliennes.

Alors que le premier ministre dit n’avoir « jamais été informé » des violences dans l’établissement catholique béarnais, Françoise Gullung raconte à « Mediapart » l’avoir alerté à plusieurs reprises dès les années 1990, et avoir été témoin de maltraitances avec son épouse.