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Elisabeth Borne, Manuel Valls, Gérald Darmanin et nombre de sortants… Le premier ministre a nommé des personnalités expérimentées, qui pour beaucoup appartiennent à l’ex-majorité présidentielle. Un socle aussi restreint que celui de son prédécesseur, qui ne le met donc pas à l’abri d’une censure.

Le bilan des victimes nord-coréennes avancé par le président ukrainien est plus élevé que celui qu’a fourni l’état-major interarmées de Séoul, qui parle de 1 100 soldats blessés ou tués. D’après les autorités sud-coréennes, américaines et ukrainiennes, quelque 12 000 soldats nord-coréens sont désormais déployés en Russie.

François Bayrou, qui ambitionnait d’élargir son socle afin d’éviter la censure, n’a intégré dans son équipe que trois anciens socialistes : Manuel Valls, François Rebsamen et Juliette Méadel. Les partis de gauche dénoncent une « provocation », et accusent le gouvernement d’être à nouveau « sous la surveillance » du RN.

« Nous frapperons durement les houthistes, ciblerons leurs infrastructures stratégiques et décapiterons leur leadership, tout comme nous l’avons fait avec [Ismaïl] Haniyeh, [Yahya] Sinouar [chef du Hamas dans la bande de Gaza] et [Hassan] Nasrallah [chef du Hezbollah] à Téhéran, à Gaza et au Liban », a déclaré le

L’ex-maire de Dijon fait figure de caution de gauche pour François Bayrou, mais le divorce est consommé depuis longtemps avec le PS. Il hérite d’un vaste ministère englobant ville, ruralité, transports et logement, avec pour objectif la réconciliation des territoires.