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« Tout accord pouvant mettre fin à cette tragédie, pouvant sauver des vies, faire cesser que des femmes et des enfants souffrent de la faim, nous le soutiendrions de tout notre cœur », a déclaré Massoud Pezeshkian, vendredi, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, au moment où Donald

Amer Matar, un journaliste syrien qui a été détenu au début de la révolution, a créé un musée virtuel, qui permet aux visiteurs de s’immerger dans ce que fut la prison de Saydnaya, haut lieu de la torture, situé au nord de Damas.

Le drame s’est produit à hauteur des plages de Neufchâtel-Hardelot, dans le Pas-de-Calais, alors qu’une centaine de migrants tentaient de prendre la mer. Une soixantaine de personnes « seraient actuellement prises en charge par la protection civile », selon la sous-préfète de Montreuil-sur-Mer.

Dans sa chronique, Guillemette Faure met en lumière les transformations invisibles de notre époque. Cette semaine, cette tendance de l’actualité et de ceux qui la font à être plus absurdes qu’un article du « Gorafi ».

Des drones ukrainiens ont attaqué, samedi, une station de pompage de pétrole dans la région russe de Tchouvachie, sur la Volga, entraînant l’arrêt des activités du site, a déclaré le gouverneur de la région.