« L’indifférence avec laquelle ont été accueillis les engagements de Sébastien Lecornu montre l’ampleur du discrédit de la parole publique »
Il est symptomatique que, dès son arrivée à Matignon, le nouveau premier ministre ait voulu donner des gages sur l’efficacité contestée de l’Etat et sa capacité à tracer un horizon, analyse, dans sa chronique, Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».
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