Procès des viols de Mazan : « Après huit semaines dans le marécage, nos carnets sont pleins de boue »
Nos chroniqueurs judiciaires Henri Seckel et Pascale Robert-Diard racontent quarante-huit jours de vidéos sur grands écrans, de détails sordides, d’excuses ratées. « Chaque jour, on a cru qu’on avait vu et entendu le pire. Mais le pire était pire le lendemain ».
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