« Dans le déni, les Européens veulent encore se reposer sur leur allié américain comme si rien n’avait changé »
Le premier ministre polonais, Donald Tusk, souhaite que le Vieux Continent assume sa propre force sans dépendre des turbulences politiques aux Etats-Unis. Un vœu pieux : l’Europe n’est pas prête, observe dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».
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