Perdre un frère ou une sœur dans son enfance : « On se met, inconsciemment, à vouloir vivre pour deux »
La mort d’un membre de la fratrie dans l’enfance ébranle durablement l’équilibre familial et redéfinit les relations affectives. Souvent, l’enfant ou les enfants qui restent, désireux de préserver leurs parents, taisent leur propre douleur, tentant de trouver un sens à leur chagrin dans une réalité désormais marquée par l’absence.
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