Au procès de l’association pro-suicide assisté Ultime Liberté, la cofondatrice défend une action au « cas par cas »
Depuis le 15 septembre, douze cadres de cette association assumant d’aider ses adhérents à se donner une mort choisie comparaissent au tribunal correctionnel de Paris, notamment pour « importation en contrebande de marchandise dangereuse pour la santé publique ».
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