Le féminicide de Tatiana Mevel à Saint-Jouan-des-Guérets, symptôme d’une société « qui pense insuffisamment le danger »
Cette jeune mère de famille avait porté plainte à deux reprises contre son ex-conjoint dans les jours et les semaines qui ont précédé son meurtre. Pour Ernestine Ronai, présidente du Comité national de pilotage de l’ordonnance de protection auprès du ministère de la justice, en matière de féminicides, « il faut penser la protection avant la sanction ».
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