mai 2025

L’émission, intitulée « Emmanuel Macron – Les défis de la France », permettra à « plusieurs personnalités issues de la société civile » d’interpeller le chef de l’Etat, qui « répondra également aux téléspectateurs », selon la chaîne.

Les artistes du hip-hop francophones explosent les compteurs de nombre d’écoutes et d’albums vendus depuis une dizaine d’années. Pourtant, ce genre musical reste faiblement représenté dans les cérémonies et sur les canaux de diffusion traditionnels.

Interrogée quelques heures avant l’ouverture du Festival de Cannes, dont elle est la présidente du jury, l’actrice a, par ailleurs, considéré que le mouvement #MeToo « a pris un certain temps pour arriver » mais « réagit très fortement dernièrement ».

Par souci de ménager l’enseignement catholique, le RN ne s’est pas intéressé au scandale pédocriminel et refuse d’incriminer le comportement de François Bayrou.

Le président américain a fait cette annonce depuis l’Arabie saoudite, où il se trouve mardi dans le cadre de sa tournée au Proche-Orient. Il doit « saluer » le président syrien Ahmed Al-Charaa, mercredi, à Ryad, selon un haut responsable américain.

Le film de Sonia Dauger et Xavier Lefebvre aborde le sujet de façon originale, en sondant les racines de six personnalités, dont le rappeur JoeyStarr et la comédienne Stéfi Celma.

Quand l’un réalise, les autres sont assistant, scénariste ou monteur. Depuis leurs études de cinéma, les quatre amis se sont toujours épaulés sur leurs films respectifs. Aussi, quand le réalisateur d’« Entre les murs » est tombé malade en 2023, ses complices l’ont

Une étude publiée à la mi-avril a eu un écho médiatique retentissant en affirmant avoir découvert une biosignature dans l’atmosphère d’une exoplanète. Mais ces travaux sont vivement remis en question par la communauté scientifique.

Cancers, polypathologies, maladies respiratoires… Quels patients pourraient bénéficier de l’aide active à mourir dans le cadre de la nouvelle loi actuellement discutée à l’Assemblée nationale ?

Interrogées par l’ONG Amnesty International, 72 Kényanes disent avoir été victimes d’exploitation, mais aussi de racisme, de violences physiques, d’enfermement et, pour certaines, de viols.