Aide à mourir : « Par-delà les directives lointainement anticipées, l’écrit est nécessaire lorsqu’on se sait condamné »
Les députés français examinent, depuis lundi 12 mai, une proposition de loi sur l’aide à mourir. Dans une tribune au « Monde », le psychologue belge Olivier Bury, fort de son expérience, insiste sur la nécessité d’une demande écrite du patient, dès lors qu’il se sait voué à mourir à court terme, et non simplement dans le cadre de volontés anciennes.
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