« La fermeture du dernier Macumba permet de réfléchir aux “trente glorieuses”, une période qui hante nos imaginaires politiques et géographiques »
Avec leurs restaurants, leurs salles de cinéma et leurs pistes de danse XXL, ces boîtes de nuit étaient le produit d’un urbanisme qui façonnait le territoire autour de l’adage « plus vite, plus grand, en série », explique la géographe Martine Drozdz dans une tribune au « Monde ».
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