janvier 2025

Qu’est-ce qui nous rend heureux ? Chaque jour, des témoins racontent au « Monde » un épisode de leur vie qui leur a apporté une joie intense. Aujourd’hui : Patrick Duveau, 60 ans, coach de vie, préparateur physique et mental à Bordeaux.

Alors que la ville de Louisiane panse ses plaies, le FBI, qui mène les investigations, a assuré que le terroriste, Shamsud-Din Jabbar, un ancien militaire, avait très probablement agi seul.

Le ministre des affaires étrangères français et son homologue allemande, Annalena Baerbock, doivent rencontrer conjointement Ahmed Al-Charaa, l’homme à la tête d’une coalition d’islamistes radicaux qui ont ravi le pouvoir à Bachar Al-Assad le 8 décembre.

Alors que les catastrophes météorologiques se multiplient, rendant l’action climatique toujours plus urgente, le contexte politique et l’austérité budgétaire entravent les efforts attendus à la COP30, à Belem, au Brésil.

Dans « Nuit blanche », un récit personnel qui paraît le 8 janvier chez Grasset, le philosophe et écrivain Bernard-Henri Lévy évoque ses échanges avec un autre illustre insomniaque : le président de la République. Mais aussi la folie d’un monde qui ne peut

Alors que le premier conseil des ministres de l’année se réunit vendredi 3 janvier, le gouvernement va consulter les partis représentés au Parlement avec, en point de mire, l’adoption du budget pour 2025, prévue d’ici à la mi-février.

Des milliers de commerçants ainsi que l’économie locale sont affectés par l’incendie déclenché mercredi soir au marché de Kantamanto, dans la capitale, Accra. Un problème électrique pourrait être en cause, mais la piste criminelle n’est pas exclue.

Le milliardaire républicain a promis, pendant sa campagne, d’imposer des droits de douane à la Chine ainsi qu’aux pays vers lesquels le déficit commercial américain s’est déporté ces dernières années.

Les enquêteurs sud-coréens ont annoncé avoir « commencé à exécuter un mandat d’arrêt » contre le président suspendu pour sa tentative ratée d’imposer la loi martiale, mais les agents se sont notamment heurtés à une unité de l’armée fidèle au dirigeant.

Israël dit avoir frappé après avoir constaté que les forces armées libanaises ne répondaient pas à sa demande de neutralisation des engins qui « représentaient une menace pour les civils israéliens et les troupes » israéliennes.