« Les films et les silences de David Lynch, d’une ambiguïté folle, et parfois incompréhensibles, sont des aberrations magnifiques »
Que l’on ne comprenne pas grand-chose aux films de David Lynch, mort le 16 janvier, n’est pas un problème, puisque le réalisateur américain entend faire marcher en nous la machine à sensations et à réfléchir, analyse dans sa chronique Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».
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