octobre 2024

Le programme Atlasea a pour objectif de recenser les « génomes de référence » de 4 500 organismes marins eucaryotes présents dans les eaux françaises. Reportage au large des côtes bretonnes et à Dinard sur les recettes pour y parvenir.

« 7-Octobre, un an après ». Alors que Jean-Luc Mélenchon et ses troupes ont érigé la cause palestinienne comme un axe de campagne électorale, les socialistes ont condamné le refus des « insoumis » de qualifier le Hamas de mouvement « terroriste ».

L’institution accuse l’ancien président du Front national d’avoir indûment facturé des frais de mandat en tant qu’eurodéputé.

Détenus dans des conditions épouvantables, quatorze Français, douze hommes et deux femmes, tous condamnés pour appartenance à l’Etat islamique, demandent leur rapatriement.

« 7-Octobre, un an après ». Le massacre du 7 octobre 2023 a donné lieu à l’un des plus grands kidnappings de l’histoire, avec 251 personnes capturées. Le sort de ces otages, que le Hamas voulait négocier contre des prisonniers palestiniens, a, au fil des

« 7-Octobre, un an après ». Dans les rues de l’enclave palestinienne sous les bombes depuis un an, les reproches envers le mouvement islamiste et sa gestion de l’après-7-Octobre, se multiplient. Le Hamas demeure toutefois le symbole de la résistance à Israël.

Mobilisés depuis le premier jour de l’attaque sanglante du Hamas contre Israël, les journalistes du « Monde » racontent ce qu’ils ont vécu le 7 octobre 2023 et comment ils couvrent un conflit meurtrier qui n’a cessé d’embraser le Proche-Orient.

« 7-Octobre, un an après ». Le premier ministre israélien n’a jamais reconnu sa responsabilité personnelle dans l’écroulement du 7 octobre 2023. Au contraire, il en fait un levier pour remodeler le conflit israélo-palestinien, et prolonge la guerre contre le Hezbollah et l’Iran.

Le pays construit presque les deux tiers des projets solaires et éoliens de la planète, huit fois plus qu’aux Etats-Unis, tout en continuant à ouvrir de nouvelles centrales à charbon.

« 7-Octobre, un an après ». Alors que plusieurs élus du camp présidentiel campent sur une ligne de soutien inconditionnel à l’Etat hébreu depuis un an, d’autres se montrent mal à l’aise avec « une tonalité “ultra Israël” ».