La fragilité de Gabriel Attal, candidat putatif à la présidence de Renaissance
L’ancien premier ministre tarde à officialiser sa candidature à la tête du parti présidentiel, notamment pour éviter une lutte fratricide avec Elisabeth Borne, en plein débat sur le budget. A l’Assemblée nationale, celui qui est aussi le président du groupe éprouve déjà les limites de son leadership.
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