Le « Loto pour pauvres » d’Issoudun, histoire d’un legs anachronique
Chaque année depuis la fin du XIXe siècle, trois « pères de famille » de bonne moralité et de condition modeste sont choisis pour recevoir une cagnotte issue de l’héritage d’un bourgeois philanthrope de la ville. L’ouverture de cette « tombola sociale » aux femmes est, enfin, à l’étude.
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